"Fait prisonnier en Argonne le 13 juillet 1915, il fut emmené en captivité. Après plus de trois ans de souffrances et de privations, il avait vu enfin avec l’armistice se lever l’aurore du grand jour de la délivrance. Déjà des prisonniers étaient rapatriés et il attendait avec une impatience fébrile que son tour arrivât, lorsque la grippe espagnole le terrassa. Quatre jours après, il expirait loin des siens à Schneidemuhlde". (L’Abeille de la Ternoise, du 28/03/1926) |
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