Le 19 septembre 1922, funérailles. Au cimetière, la même assistance écouta avec recueillement malgré l’averse, M. Foulon qui, au nom des anciens combattants, retraça la vie toute de travail et d’affection pour les siens, de celui qui jouissait dans son petit village de léstime générale et fit l’éloge du brave que Désiré Debret se montra pendant la grande guerre dont il fut victime, laissant pour le pleurer une épouse, des enfants, de vieux parents inconsolables et pour honorer sa mémoire, tous ceux qui, nombreux, vinrent s’incliner devant sa tombe et lui adresser un dernier adieu avant que la terre natale se referme sur lui à jamais. |
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