Histoire(s)

Sous cette rubrique, sont consultables des articles relatifs à la Mémoire de la Grande Guerre dans le Ternois.



BIOGRAPHIES

André BIGUET, un écrivain combattant tombé au champ d'honneur

Parmi les 560 noms gravés au Panthéon en l’honneur des écrivains qui ont donné le sacrifice de leur vie pendant la Grande Guerre, figure celui d'André Biguet, écrivain originaire d'Avesnes-le-Comte, tué à l’âge de 26 ans, en 1918. (lire la suite)

JULES GARCON, alias Georges Letervanic, un écrivain combattant tombé au champ d'honneur

Parmi les 560 noms gravés au Panthéon en l’honneur des écrivains qui ont donné le sacrifice de leur vie pendant la Grande Guerre, figure celui de Georges Letervanic, de son vrai nom Jules Garçon, poète-Rosati et dramaturge originaire de Saint-Pol-sur-Ternoise, tué à l’âge de 30 ans, lors des tous derniers combats. (lire la suite)

CLOVIS GRIMBERT, un écrivain combattant tombé au champ d'honneur

Parmi les 560 noms gravés au Panthéon en l’honneur des écrivains qui ont donné le sacrifice de leur vie pendant la Grande Guerre, figure celui de Clovis Grimbert, poète-Rosati originaire d'Erin, tué à l’âge de 31 ans, en 1918. (lire la suite)

RAOUL BRIQUET, un député mort pour la France

Le 25 mars 1917, les députés d'Arras, Albert Taillandier et Raoul Briquet, meurent tragiquement à Bapaume. En 1924, le poète Emile Poiteau lança un appel pour l'érection d'un monument : « Il ne s'agit plus du passé où des députés de valeurs, porteurs d'idées différentes, luttaient comme il convenait au regard de leurs partis dans des camps opposés … Ils sont morts en brave, prouvant à l'univers que dans la France, divisée en apparence, il n'y a en réalité qu'une seule âme en jours de danger quand la voix du pays réclame ses enfants ». Aujourd'hui, le corps de Raoul Briquet repose au cimetière Est de Saint-Pol  où sa tombe est à l'état d'abandon... (lire la suite)

LITTERATURE

Ecrits d'avant guerre

La littérature locale d'avant 14 témoigne de l'inéluctabilité d'une guerre mondiale. (lire la suite)

Le 120 Court, Clovis Grimbert et Georges Letervanic

Le 120 Court est un journal de tranchée dont le premier numéro a été publié le 20 juillet 1915. Deux Ternésiens, Clovis Grimbert, son fondateur et directeur, ainsi que Jules Garçon, sous le pseudonyme de Georges Letervanic, y publièrent des poèmes, pièces de théâtre, articles divers, dont la plupart sont ci-après retranscrits. (lire la suite)

Les Chansons de Jacques le Poilu

En 1922, est publié à titre posthume, le recueil intitulé Les Chansons de Jacques le Poilu, regroupant plusieurs poèmes composés pendant le conflit par  Georges Letervanic. De son vrai nom Jules Garçon, cet écrivain natif de Saint-Pol résume, dans un préambule, la teneur de ses écirts : "Le soir, au cantonnement, cédant à la demande de ses compagnons, Jacques-le-Poilu chantait ... On le savait poète, dans la tranchée. Il fallait à ses grands yeux clairs d'autres horizons que ceux des parapets. Et on le voyait souvent le regard perdu dans l'immensité du ciel bleu, où passent les oiseaux de guerre, où plane la " saucisse " des rêves, écoutant les brises, qui apportent les voix d'amour et de sacrifice. Et, quand Jacques se levait, c'était pour chanter la commune histoire des braves gens qui l'écoutaient et qui était la sienne ; c'était pour chanter les souvenirs et les souffrances, les douleurs et les ruines ...
Un jour, en gagnant l'arrière, son chant se fit satirique : il avait rencontré ... un gendarme ! Mais bien vite il revint à l'idylle du cantonnement de repos, aux belles d'amour qui pleurent leurs espoirs, et pour songer aux cœurs des mères qui n'ont plus de leurs fils que la pauvre croix que caressent les blés.
Jacques-le-Poilu chantait ... Et c'est l'âme de ses chansons qu'ici j'ai recueillie."   (lire la suite)

La quête du corps d'un disparu de la Grande Guerre à travers la pièce "Où est-il ?" de César Bernard

La Première guerre mondiale modifia profondément la perception de la mort, et par delà, les méthodes d’inhumation. La mort en masse eut d’importantes conséquences parmi les sociétés d’après guerre, dans des communautés marquées par le deuil.
L’attachement au corps et le culte du tombeau font que dès le décès connu, les familles endeuillées accomplirent des démarches pour retrouver la dépouille du défunt.
Le rapatriement du corps permettait à la famille de rendre au mort les honneurs qu’il n’avait pu recevoir, lui dire un dernier adieu et ainsi, d’achever son travail de deuil.
Mais qu’en était-il de celles qui n’avaient pas la chance de retrouver le corps de leur défunt ?
La littérature ternésienne s'empara de ce douloureux sujet, par la voix de César Bernard, député de l’arrondissement de Saint-Pol de 1919 à 1928.
Cet instituteur de profession composa une courte pièce de théâtre, intitulée « Où est-il ? », relatant la recherche par deux orphelins de la grande Guerre, Mirette-Bleue et son frère petit-Homme, de la tombe de leur père mort pour la France.
(lire la suite)

HISTOIRE

Les cérémonies d'inauguration des monuments aux morts du canton d'Auxi-le-Château

Pendant la Grande Guerre, près d'un homme sur cinq envoyé au combat a été tué. (lire la suite)

PRESSE

Journalisme de guerre

Certains évènements sont retranscrits dans la presse durant le conflit. (lire la suite)


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